Claude Nougaro – Le Cinéma (2005)
Claude Nougaro – Le Cinéma (2005)
1 Le Cinéma 2 Les Don Juan 3 Une petite fille 4 Le Jazz et la Java 5 Ouh! 6 La Chanson 7 Le Paradis 8 Le Rouge et le Noir 9 Tout feu tout femme + 10 Cécile, ma fille 11 L'église 12 Les mines de charbon 13 Ma fleur Bass – Guy Petersen Drums – Christian Garros, Gus Wallez Organ – Eddie Louiss Percussion – Emile Serré Piano – Claude Nougaro, Michel Legrand
Claude Nougaro, Né à Toulouse (France) le 09/09/1929 ; Mort à Paris (France) le 04/03/2004
Dès sa naissance le 9 septembre 1929, Claude Nougaro baigne dans la musique avec un père chanteur d'opéra et une mère professeur de piano. Cependant, ce sont les mots qui lui permettent de vivre : journaliste dans divers quotidiens, il écrit également des chansons pour les artistes du moment, notamment pour Georges Brassens qui le dirige vers la poésie romantique et humoristique. Le jeune homme connaît un véritable déclic, et c'est avec entrain qu'il débute sa carrière dans la chanson.
En 1954, il commence sa carrière en se produisant dans un petit cabaret où il lit ses poèmes et expérimente les mises en musique de ses textes. C'est en 1962 qu'il connaît le succès avec deux titres incontournables : "Une petite fille" et "Cécile, ma fille". Il continue sa route et fait des connaissances décisives pour la suite, comme Maurice Vander, un pianiste de jazz qui le suivra jusqu'au bout. "Toulouse", "Le jazz et la java", "Tu verras", "Armstrong" sont autant de titres qui révèlent le génie et le talent de cet homme discret. Le jazz et les sonorités africaines font partie intégrante de ses compositions toujours poussées et soignées dans les moindres détails.
La carrière de Claude Nougaro ne connaît pas de moments d'essoufflement. Ce n'est qu'en 1995, quand son état de santé se dégrade, qu'il se tourne vers l'écriture d'un album plus personnel et radicalement différent, "Les fables de ma fontaine". Il fait beaucoup de festivals et de concerts, mais en 2004, le cancer le rattrape et ôte la vie à ce grand homme de la musique. La ville de Toulouse lui rend hommage et baptise un jardin, un collège, une esplanade, une salle de concert et une station de métro en son nom. Claude Nougaro reste aujourd'hui une référence dans le monde de la musique et de la poésie. ---linternaute.com
9 September 1929, Toulouse, France, d. 4 March 2004, Paris, France. Born into a highly musical family, his father Pierre Nougaro was a classical singer, his mother, Liette, was a pianist and teacher, Claude took an interest in music from an early age. He listened on radio and records not only to classical music and French popular music but also to American swing bands and blues singers. Not surprisingly, given that he was growing up during the occupation of France in World War II, his education was erratic. After the war, he became a journalist, writing for French newspapers on the mainland and in French-controlled Algeria. By the early 50s he was living in Paris where he wrote lyrics for songs composed by Marcel Amont (‘Le Balayeur Du Roi’) and Philippe Clay (‘Joseph’). In mid-decade, he began performing his own material at Parisian nightspots and in 1959 recorded his first album. In the early 60s, he began an association with pianist-composer Michel Legrand, the first fruits of which was 1962’s well-received Une Petite Fille. That same year, he met Edith Piaf, later writing a song, ‘Comme Une Piaf’, which he dedicated to her. The following year he had a hit with ‘Cécile Ma Fille’. Following a 1964 encounter with Brazilian guitarist Baden Powell, Nougaro began to feature Brazilian musical styling in his performing and writing and over the next dozen years had several popular successes with songs such as ‘Bidonville’, ‘Brésilien’ and ‘Tu Verras’. His interest in jazz was exhibited with songs like ‘A Bout De Souffle’, ‘Armstrong’ and ‘Sing Sing Song’. From the mid-60s onwards, Nougaro regularly worked with organist Eddy Louiss and pianist Maurice Vander. He continued to have pop successes, one of which, 1968’s ‘Paris Mai’, a song about the current student and workers unrest, led to a two-week engagement at the Paris Olympia, captured live on Une Soirée Avec Claude Nougaro.
Throughout the 70s and thereafter, Nougaro continued to have performing and composing successes, appearing again at the Olympia in 1974, this time with Powell, and forming his own production company, Chiffre Neuf Records. The following year he toured with Powell and also with Tania Maria. Although his abiding interest in the music of Brazil and of jazz influenced his own music, for the most part he remained solidly within the tradition of French chanson. From the mid-80s he spent almost two decades touring extensively and spending a great deal of his time in America. A resurgence of interest in Nougaro in the mid- to late 90s resulted in the issue on CD of many earlier and some recent albums. ---oldies.com
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