Giants of Jazz Play Brassens (1995)

1	Elegie A un Rat de Cave			
2	Au Bois De Mon Coeur			
3	P De Toi			
4	Femme D'Hector			
5	Marche Nuptiale			
6	Temps Ne Fait Rien a L'af			
7	Temps Passe			
8	Chanson Pour L'auvergnat			
9	Chasse aux Papillons			
10	Porngraphe			
11	Priere			
12	Les Copains D'Abord			
13	Histoire de faussaire			
14	Embrasse-les tous			
15	Maman Papa			
16	Non-Demande en Mariage			
17	Je Me Suis Fait Tout Peti			
18	J'ai Rendez-Vous Avec Vou			
19	Bonhomme			
20	Vent			
21	Ballade des Cimetieres			
22	Ronde des Jurons			
23	Cupidon S'en Fout

Musicians:
Cat Anderson - trumpet
Michel Attenoux - saxophone
Eddie "Lockjaw" Davis - saxophone
Dorothy Donegan - piano
Harry "Sweets" Edison – trumpet, saxophone
Joel Favreau - guitar
Francois Guin - trombone
Irakli - trumpet
Joe Newman - trumpet
Pierre Nicolas - contrabass
Benny Vasseur – trombone

To those of you who think they know Brassens's songs and can hum them any time from shower to shower, this CD is more than a resfresher. Brassens brings his own guitar talent to a band of highly-skilled jazz musicians - the piano, trumpet and guitar sounds are just breathtaking. Rythms are revisited to make you dance on Brassens now, and to the jazz lovers this CD will be a passionate illumination on what a genial and bizarre song-writer could do in jazz too. This CD will never leave my home! ---Bookivore, amazon.com

A l'origine Georges Brassens Joue avec Moustache et les Petits Français, sont deux 33 tours sortis en 1979, que l'on retrouve, titre pour titre, sur ce double CD. Alors au sommet de sa gloire, Brassens accepte d’enregistrer onze de ses titres avec le batteur Moustache et une pléiade de musiciens de jazz (entres autres, Joe Newman à la trompette, Eddie Davis au saxophone ténor, Marcel Zanini à la clarinette).

Le projet l’amuse et même plus : il prend un grand plaisir à interpréter ses chansons par le seul biais de la guitare. Cette expérience présente l’intérêt de laisser, réellement, entendre les mélodies. Or, toutes les chansons enregistrées se prêtent avec bonheur à l’adaptation orchestrale. La dynamique «jazz» dope l’énergie de chansons telles que «Les copains d’abord» ou «la Chasse aux papillons», mais sait également se fondre avec la gravité de «La Prière». En définitive, chaque morceau trouve son meilleur accomplissement grâce à de légères accentuations rythmiques et des variations instrumentales choisies.

Ce premier hommage rendu à Brassens de son vivant et avec sa participation, donne lieu aujourd’hui encore à de nouvelles réadaptations dans cette tonalité. Brassens est jazz, il n’a pas fini de le montrer ! ---Noëlle Hermal, amazon.fr

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